chef de Fondation des Medias libyens/conference de presse.
Pulbished on:A propos du budget ; le communiqué a indiqué que le très petit montant alloué à la Fondation des Médias et à ses affiliés dans le cadre du budget de transformation 20/20, qui a été dépensé avec beaucoup de soin, et son rapport sera renvoyé au ministère du Plan et supervisé par un comité nommé par le ministère des Finances, mais ce budget n'est pas égal aux frais tiré du Trésor public et de la richesse du peuple libyen en échange de dépenses faites et de frais du transport du chef de l'Office d'Audit et sa résidence familiale en Turquie et les frais de ses voitures et bureaux.
Le communiqué demandait pourquoi l'Office d'audit et son chef, Khaled Shakshk, n'avaient pas bougé personnellement lorsque des faits sont apparus que plus de 30 millions de dinars libyens avaient été gaspillés depuis 2013, soit l'équivalent actuellement de cent millions de dinars, par les responsables la chaine falsifiée appelé (Liban News Channel).
La déclaration indiquait que la détention préventive ciblant un fonctionnaire du gouvernement au niveau d'un ministre devrait soumettre aux procédures, contrôles et mécanismes juridiques spécifiques, dont l'ouverture tout d'abord une enquête requise par la loi, et avant tout selon ce qui est imposée par la religion, soulignant que l'organisation du parti qui contrôle l'Office d'Audit à Tripoli tente de nous attirer dans une bataille nécessaire et malhonnête, mais nous n'y irons pas, nous irons aux batailles nationales pour la Libye et l'État avec des outils honorables.
La déclaration a affirmé que la Fondation et son président sont prêts à coopérer pleinement à toute enquête impartiale, indépendante et objective, considérant que les médias nationaux sont l'un de ses premiers devoirs et responsabilités de révéler les faits au public, et il est naturel de commencer par lui-même.
Le communiqué a appelé tous les organismes publics de nature particulière de l'État libyen à ne pas reconnaître et traiter avec l'Office d'Audit de Tripoli tant que le Parlement libyen n'a pas l'approuvé.
Le communiqué a également appelé le procureur à ouvrir une procédure pénale contre le chef de l'Office, Khaled Shakshak, pour son refus de mettre en œuvre les décisions judiciaires définitives et c'est ce qui le fait commettre un crime puni par la loi.(fin)