Un soutien occidental au nouveau gouvernement libyen et une menace de punition des opposants de la réconciliation.
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PARIS,14 Mars 2016 (Lana)- Les Etats-Unis d'Amérique , la France ,
l'Italie , le Royaume-Uni et l'Allemagne ont appelé hier (Dimanche)
le nouveau gouvernement libyen de consensus à installer rapidement à
Tripoli ,tout menaçant d'imposer des sanctions contre ceux qui
opposes la réconciliation , alors que ces sanctions seront discuter
ce Lundi à Bruxelles par les européens.
A l'issue d'une réunion à Paris, le secrétaire d'état américain
M.John Kerry, a dit: Nous appelons tous les institutions publics
libyens à faciliter une transformation régulier et pacifique du
pouvoir afin que les nouveaux dirigeants libyens seront en mesure
d'exercer leur mission à partir de la capitale -ndlr Tripoli".
Quant à son homologue italien M.Paulo Jentelioni, a dit:" le soutien
reçu par le gouvernement d'unité nationale présidée par M.Faiyz
Assaraj, de la part d'un groupe les politiciens libyens, doit être
traduire rapidement à travers des étapes primaires de façon que le
siège de ce gouvernement doit être à Tripoli".
D'autre coté le conseil présidentiel libyen soutenu par les
Nations-Unies , a annoncé samedi soir que le gouvernement de
consensus national a entamé ses tâches en vertu du communiqué
d'appui à son égard qui a été signé par la majorité des députés du
parlement et ce après l'incapacité de ce gouvernement d'obtenir la
confiance dans le parlement.
D'ailleurs les ministres des affaires étrangères de cinq pays
représentés à la réunion de Paris en plus de la ministre des affaires
étrangères de l'Union Européenne Mme.Frederica Mogerini, ont averti
d'imposer des sanctions contre tous ceux qui perturbent le vote de
confiance au gouvernement.
Pour sa part le ministre français des affaires étrangères M.Jean Marc
Eurolet, a dit:" Nous travaillons dans ce sens avec l'UE et les USA
afin d'adopter aussitôt des sanctions s'il serait nécessaire".
Notant que les ministres des affaires étrangères de (28) pays de l'UE
discutent ce Lundi à Bruxelles ces sanctions exigées par Paris et que
le chef de la diplomatie italienne a dit:"demain le mécanisme sera
commencer"sur lequel ces sanctions seront imposer.