Les journalistes sont la voix de ceux quin'ont pas de voix, -suite une et fin-.

Tripoli, -Elle a souligne que les journalistes sont la voix de ceux qui n'ont pas de voix et ne doivent pas être réduits au silence, car la vérité ne doit pas devenir une autre victime de la guerre en cours. Une presse libre est extrêmement importante pour l'autorité et celà est particulierement vrai en temps de conflit et de crise, car les libyens menacaient actuellement par un conflit qui dure depuis un an et la pandémie de Corona (Covid-19). Elle a renouvelé son appel aux journalistes et aux professionnels des médias pour unir leurs forces dans la lutte contre la désinformation, les discours de haine et l'incitation. Elle a conlu que le fait de menacer des journalistes et de les détenir simplement dans l'exercice de leurs fonctions viole le droit international des droits de l'homme et contredit l'engagement à garantir un environnement favorable aux médias, ajoutant que la Mission des Nations Unies en Libye condamne toutes les attaques contre des journalistes et demande que les auteurs soient traduits en justice. -Lana-